Cette année, le 1er mai aura un relief tout particulier du fait de la crise sanitaire. L’internationalisme est au cœur des enjeux pour répondre aux besoins de l’humanité. Cette journée de lutte est placée sous le signe de la réappropriation de la société par les travailleurs-euses. L’ancien monde est révolu, place au nouveau ! Paix, désarmement, renforcement des droits sociaux, des services publics, de nos systèmes de santé et des enjeux environnementaux, voilà ce dont ont besoin les citoyens du monde ! Capitaliste de tous pays, la classe ouvrière vous le dit………. plus jamais ça !!!
Ce slogan émane d’une tribune signée par un certain nombre de responsables de partis politiques, d’associations et d’organisations syndicales, dont Philippe Martinez. Une pétition est issue de cette tribune « plus jamais ça, construisons ensemble le jour d’après ! ».
D.JOUSSE