Après une séquence électorale qui a vu une banalisation du racisme et des thèses de l’extrême droite en France, il n’est pas excessif de comparer ce phénomène actuel à la montée du fascisme dans les années 30 en Europe.
La crise économique est le terreau des mouvements xénophobes et des replis identitaires.
La SNCF, avec plus de 150 000 cheminots, n’échappe malheureusement pas à ce terrible constat.
Ainsi, force est de constater que des situations (certes à la marge) de racisme, des comportements xénophobes, des cas de discriminations, existent dans l’entreprise et plongent les cheminots qui en sont victimes dans l’isolement, le désarroi, le mal-être, la souffrance…
De plus, les cheminots qui osent témoigner ou soutenir des [ ... ]
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