Un peu partout en France, des luttes se développent pour s’opposer à la casse de l’emploi et du tissu industriel. Conforté par une absence de décisions politiques permettant de s’opposer à des choix qui tournent le dos à l’intérêt général, le patronat poursuit son offensive afin d’obtenir plus d’aides publiques et de flexibilité en pratiquant un chantage scandaleux à la fermeture d’usines ! La lutte des salariés de chez Renault, qui refuse le chantage de la direction, est à cet égard salutaire. Comment pourrions-nous en effet accepter le discours culpabilisateur d’un patronat sur le soit disant coût du travail trop élevé ? Pour la CGT, les choses sont claires : le travail n’est pas un coût mais une richesse ! Regardons plutôt du côté du capital avec les milliards d’euros de dividendes versés aux actionnaires (40,9 milliards l’année dernière) sans oublier les intérêts versés aux banques. [ ... ]
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